La vérité, est-elle toujours bonne à dire? Il ne faut pas mélanger le fait de parler avec vérité et le fait de ''toujours'' dire scrupuleusement la vérité. Soyons clair ! le mensonge est du diable et il ne devrait jamais faire partie de notre vie (voir Jean 8:44; Apocalypse 22:15). Par contre, dire la vérité sur un sujet quand la situation ne s'y prête pas n'est pas toujours souhaitable. Il y a des circonstances dans la vie qui demandent de taire pour un moment la vérité sur un sujet afin ne pas démolir une autre personne par nos propos. Doit-ont briser le roseau cassé et éteindre le lumignon qui fume ? (voir Matthieu 12:20). Dieu ne prend-il pas plaisir à la miséricorde (Matthieu 12:7; Michée 7:18)? Faut-il dire, par exemple, à une personne dont le fils ou la fille vient tout juste de décéder, que ce dernier ou cette dernière n'ira pas au ciel parce qu'il ou elle a mené une vie de débauche ? Est-ce que la vérité dans ce cas doit être prononcée à tout prix, tout de suite, sur- le- champ? Il y a sûrement une autre occasion où le sujet pourra être abordé dans des circonstances plus appropriées et où la personne sera mieux disposée à écouter.
Faut-il faire l'équation suivante dans notre pensée: je ne suis pas honnête parce que je ne dis pas réellement à la personne ce qui me passe par la tête? Pouvons- nous réaliser que ce qui nous vient à la pensée n'est pas toujours vrai et exact? N'est-il pas écrit que le cœur de l'homme est tortueux (Jérémie 17:9) ? Dire ce que nous pensons n'est pas nécessairement synonyme de parler avec vérité.
Est-ce qu'on est menteur lorsqu'on demande pardon à une personne même si on est persuadé de ne pas être coupable à son égard? Christ n'a-t-il pas dit:''Si quelqu'un veut plaider contre toi, et prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau. Si quelqu'un te force à faire un mille, fais-en deux avec lui. Donne à celui qui te demande, et ne te détourne pas de celui qui veut emprunter de toi'' (Matthieu 5: 40-42). Dans le fond, cette personne à qui on demande pardon est blessée et a besoin de paix. L'apôtre Paul dans son épitre aux Romains nous exhorte à être en paix avec tous les hommes ''s'il est possible, autant que cela dépend de vous'' (Romains 12:18). Alors, demander pardon à quelqu'un même quand on se croit non coupable peut être un acte d'amour et demande parfois une bonne dose d'humilité.
Parler avec vérité est donc parler en étant toujours guidé par l'Esprit de vérité qui est en nous (voir Jean 14:17), c'est-à-dire, l'Esprit Saint.
Bonjour, mon nom est Louis Charbonneau. Je suis un chrétien évangélique depuis 1983. J'habite à Québec, province de Québec, Canada. Je suis marié, père et grand-père. Sur ce blogue, vous pourrez lire des articles touchant divers sujets abordés dans la Parole de Dieu. Bonne lecture!

L'orpailleur de la Parole
mercredi 23 mai 2012
samedi 12 mai 2012
Je souperai avec lui, et lui avec moi
Il y a toute une différence entre le statu d'un croyant en Dieu avant et après la nouvelle naissance. Jésus n'a-t-il pas affirmé concernant Jean-Baptiste que : ''parmi ceux qui sont nés de femmes, il n'en a point paru de plus grand que Jean-Baptiste. Cependant, le plus petit dans le royaume des cieux est plus grand que lui.'' (Matthieu 11:11). Est-ce que nous réalisons vraiment ce que Jésus a dit dans ce passage? Jean-Baptiste, plus qu'un prophète (voir Matthieu 11:10), était considéré moins grand que le plus petit (en importance...) dans le royaume des cieux.
Jésus a dit aussi dans Jean 15:15 à ses apôtres qu'il ne les appelait plus serviteurs: ''parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père.'' Certes, nous continuons quand même à être serviteurs de Dieu comme l'apôtre Pierre le rappelle en se qualifiant ainsi au début de sa deuxième épitre, mais en devenant cohéritiers avec Jésus-Christ (voir Romains 8:17) il se développe toutefois une relation intime qui n'existait pas avant notre nouvelle naissance.
C'est ce que nous pouvons observer en étudiant la différence contrastante entre le passage de Luc 17:7-8 et celui d'Apocalypse 3:20. Dans le premier cas, le serviteur prépare à manger pour le maître mais ne prend pas part à son repas. Dans le second cas, il y a échange d'intimité:
''Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi.'' (Apocalypse 3:20)
Il y a une réciprocité ici qui dépasse de loin la simple relation d'un serviteur avec son maître. Nous avons l'occasion de participer à cette relation intime à tous les jours. Quand Christ soupe avec nous, il nous sert comme menu sa Parole:
''Jésus leur dit: Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif'' (Jean 6:35)
''Jésus répondit: il est écrit: l'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu'' (Matthieu 4:4)
Quand nous soupons avec lui, nous lui servons comme menu nos louanges, notre adoration et nos prières.
Quel festin !
Jésus a dit aussi dans Jean 15:15 à ses apôtres qu'il ne les appelait plus serviteurs: ''parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père.'' Certes, nous continuons quand même à être serviteurs de Dieu comme l'apôtre Pierre le rappelle en se qualifiant ainsi au début de sa deuxième épitre, mais en devenant cohéritiers avec Jésus-Christ (voir Romains 8:17) il se développe toutefois une relation intime qui n'existait pas avant notre nouvelle naissance.
C'est ce que nous pouvons observer en étudiant la différence contrastante entre le passage de Luc 17:7-8 et celui d'Apocalypse 3:20. Dans le premier cas, le serviteur prépare à manger pour le maître mais ne prend pas part à son repas. Dans le second cas, il y a échange d'intimité:
''Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi.'' (Apocalypse 3:20)
Il y a une réciprocité ici qui dépasse de loin la simple relation d'un serviteur avec son maître. Nous avons l'occasion de participer à cette relation intime à tous les jours. Quand Christ soupe avec nous, il nous sert comme menu sa Parole:
''Jésus leur dit: Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif'' (Jean 6:35)
''Jésus répondit: il est écrit: l'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu'' (Matthieu 4:4)
Quand nous soupons avec lui, nous lui servons comme menu nos louanges, notre adoration et nos prières.
Quel festin !
mardi 1 mai 2012
Le sang de Jésus, 4ème partie
La Parole de Dieu nous enseigne que les chrétiens sont tous des sacrificateurs pour Dieu le Père.
''À celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soit la gloire et la puissance, aux siècles des siècles ! Amen !'' (Apocalypse 1:6) (voir aussi 1 Pierre 2:5; 2:9; Apocalypse 5:10)
La consécration des aspirants sacrificateurs de l'Ancienne Alliance exigeait entre autres qu'on accomplisse trois sacrifices impliquant le sang d'un animal qui devait couler: Un sacrifice d'expiation ou de propitiation, un holocauste et un sacrifice de consécration. (voir Lévitique chapitre 8)
Dans le sacrifice d'expiation ou propitiation, le taureau sacrifié devenait un substitut qui prenait sur lui tous les péchés actuels du futur sacrificateur (l'action de poser les mains sur la tête du taureau avant de l'égorger représente cette substitution; voir Exode 29:10). Le sang de l'animal était appliqué sur les quatre cornes de l'autel et était répandu au pied du même autel. Ainsi la nudité (le péché) de l'aspirant sacrificateur était couverte et Dieu était disposé à pardonner les péchés.
''Et presque tout, d'après la loi, est purifié avec du sang, et sans effusion de sang il n'y a pas de pardon'' (Hébreux 9:22)
Pourquoi faut-il disposer Dieu à nous pardonner? Parce que le péché en nous (et aussi notre incrédulité en Jésus) :
1- éveille sa colère (Ésaïe 5:24-25; Jérémie 4:4; Apocalypse 15:1; Romains 2:5; Jean 3:36)
2- Oblige Dieu, parce qu'il est Saint, à devenir notre adversaire:
3- Nos péchés font en sorte que sa face nous est cachée et que nous sommes séparés de Lui:
''Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu; ce sont vos péchés qui vous cachent sa face et l'empêchent de vous écouter'' (Ésaïe 59:2)
Dans la Nouvelle Alliance, c'est Jésus qui s'est offert lui-même comme victime propitiatoire ou expiatoire:
''Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu'' (Romains 3:23)
''C'est lui (Jésus) que Dieu a destiné, par son sang, à être, pour ceux qui croiraient, victime propitiatoire,afin de montrer sa justice...'' (Romains 3:25)
'' Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier.'' (1 Jean 2:2)
'' Il a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix. (Colossiens 1:21)
L'holocauste était un sacrifice où encore une fois le sang de l'animal était répandu sur l'autel pour servir d'expiation (Exode 29:16 et Lévitique 1:4). Mais, il y avait plus que cela: le corps de l'animal (un bélier dans le cas de la consécration des sacrificateurs) était complètement brûlé sur l'autel. Toutes les parties du corps étaient consumées. Le message véhiculé ici est qu'il y avait une consécration totale de la victime à Dieu. C'est ce que Jésus a fait lui-même. Il s'est offert sans restrictions en obéissance au Père et nous aussi nous devons faire de même, c'est alors seulement que notre sacrifice sera d'une agréable odeur à Dieu.
''Je vous exhorte donc, frères par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable.'' (Romains 12:1)
Le bélier immolé dans le troisième sacrifice était nommé bélier de consécration (Exode 29:22). Ce qui étonne à prime abord à propos de ce sacrifice de consécration pour devenir un sacrificateur est qu'on procédait aussi, en partie, de la même façon lorsqu'on désirait purifier un lépreux: la lèpre est un type du péché dans la Bible. Attention ! La purification ne signifie pas ici se défaire de la condamnation (c'est le sacrifice de la propitiation qui accomplit cela), elle a plutôt pour effet d'apporter au croyant la libération ou délivrance de la ''pollution'' du péché et de la culpabilité qui s'y rattache. En d'autres mots, ce sacrifice enlève les traces de ''saleté'' ou le dommage que le péché a causé à notre être intérieur et nous permet ainsi d'être en meilleure communion avec Dieu. Cette procédure commune à la purification du lépreux et à la consécration du sacrificateur consistait à prendre le sang d'un animal (bélier ou agneau ou tourterelle ou pigeon) et de l'appliquer sur le lobe de l'oreille droite (avec nos oreilles on peut entendre des paroles qui polluent notre âme) de l'aspirant sacrificateur ou du lépreux qui se purifiait, sur le pouce de sa main droite et sur le gros orteil du pied droit de telle sorte qu'en touchant à ces extrémités, l'être au complet était compris dans la purification (Lévitique 8:22-24 et 14:14). À remarquer que ce rite de purification du lépreux était accompli après sa guérison physique constatée. Ce qui nous mène à dire que ce rite s'adressait à la purification de l'homme intérieur et non à celle du corps. Il en est ainsi pour nous: le sang de Jésus purifie notre âme de la pollution du péché.
'' Mais, si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion et le sang de son Fils nous purifie de tout péché'' (1 Jn 1:7)
Ces trois sacrifices, Jésus les a accomplis en mourant sur la croix. Grâce à lui, nous sommes donc tous devenus des sacrificateurs du Dieu très haut.
''À celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soit la gloire et la puissance, aux siècles des siècles ! Amen !'' (Apocalypse 1:6) (voir aussi 1 Pierre 2:5; 2:9; Apocalypse 5:10)
La consécration des aspirants sacrificateurs de l'Ancienne Alliance exigeait entre autres qu'on accomplisse trois sacrifices impliquant le sang d'un animal qui devait couler: Un sacrifice d'expiation ou de propitiation, un holocauste et un sacrifice de consécration. (voir Lévitique chapitre 8)
Dans le sacrifice d'expiation ou propitiation, le taureau sacrifié devenait un substitut qui prenait sur lui tous les péchés actuels du futur sacrificateur (l'action de poser les mains sur la tête du taureau avant de l'égorger représente cette substitution; voir Exode 29:10). Le sang de l'animal était appliqué sur les quatre cornes de l'autel et était répandu au pied du même autel. Ainsi la nudité (le péché) de l'aspirant sacrificateur était couverte et Dieu était disposé à pardonner les péchés.
''Et presque tout, d'après la loi, est purifié avec du sang, et sans effusion de sang il n'y a pas de pardon'' (Hébreux 9:22)
Pourquoi faut-il disposer Dieu à nous pardonner? Parce que le péché en nous (et aussi notre incrédulité en Jésus) :
1- éveille sa colère (Ésaïe 5:24-25; Jérémie 4:4; Apocalypse 15:1; Romains 2:5; Jean 3:36)
2- Oblige Dieu, parce qu'il est Saint, à devenir notre adversaire:
''Mais ils ont été rebelles, ils ont attristé son esprit saint; et il est devenu leur ennemi, il a combattu contre eux''
(Ésaïe 63:10)3- Nos péchés font en sorte que sa face nous est cachée et que nous sommes séparés de Lui:
''Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu; ce sont vos péchés qui vous cachent sa face et l'empêchent de vous écouter'' (Ésaïe 59:2)
Dans la Nouvelle Alliance, c'est Jésus qui s'est offert lui-même comme victime propitiatoire ou expiatoire:
''Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu'' (Romains 3:23)
''C'est lui (Jésus) que Dieu a destiné, par son sang, à être, pour ceux qui croiraient, victime propitiatoire,afin de montrer sa justice...'' (Romains 3:25)
'' Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier.'' (1 Jean 2:2)
'' Il a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix. (Colossiens 1:21)
L'holocauste était un sacrifice où encore une fois le sang de l'animal était répandu sur l'autel pour servir d'expiation (Exode 29:16 et Lévitique 1:4). Mais, il y avait plus que cela: le corps de l'animal (un bélier dans le cas de la consécration des sacrificateurs) était complètement brûlé sur l'autel. Toutes les parties du corps étaient consumées. Le message véhiculé ici est qu'il y avait une consécration totale de la victime à Dieu. C'est ce que Jésus a fait lui-même. Il s'est offert sans restrictions en obéissance au Père et nous aussi nous devons faire de même, c'est alors seulement que notre sacrifice sera d'une agréable odeur à Dieu.
''Je vous exhorte donc, frères par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable.'' (Romains 12:1)
Le bélier immolé dans le troisième sacrifice était nommé bélier de consécration (Exode 29:22). Ce qui étonne à prime abord à propos de ce sacrifice de consécration pour devenir un sacrificateur est qu'on procédait aussi, en partie, de la même façon lorsqu'on désirait purifier un lépreux: la lèpre est un type du péché dans la Bible. Attention ! La purification ne signifie pas ici se défaire de la condamnation (c'est le sacrifice de la propitiation qui accomplit cela), elle a plutôt pour effet d'apporter au croyant la libération ou délivrance de la ''pollution'' du péché et de la culpabilité qui s'y rattache. En d'autres mots, ce sacrifice enlève les traces de ''saleté'' ou le dommage que le péché a causé à notre être intérieur et nous permet ainsi d'être en meilleure communion avec Dieu. Cette procédure commune à la purification du lépreux et à la consécration du sacrificateur consistait à prendre le sang d'un animal (bélier ou agneau ou tourterelle ou pigeon) et de l'appliquer sur le lobe de l'oreille droite (avec nos oreilles on peut entendre des paroles qui polluent notre âme) de l'aspirant sacrificateur ou du lépreux qui se purifiait, sur le pouce de sa main droite et sur le gros orteil du pied droit de telle sorte qu'en touchant à ces extrémités, l'être au complet était compris dans la purification (Lévitique 8:22-24 et 14:14). À remarquer que ce rite de purification du lépreux était accompli après sa guérison physique constatée. Ce qui nous mène à dire que ce rite s'adressait à la purification de l'homme intérieur et non à celle du corps. Il en est ainsi pour nous: le sang de Jésus purifie notre âme de la pollution du péché.
'' Mais, si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion et le sang de son Fils nous purifie de tout péché'' (1 Jn 1:7)
Ces trois sacrifices, Jésus les a accomplis en mourant sur la croix. Grâce à lui, nous sommes donc tous devenus des sacrificateurs du Dieu très haut.
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